Le témoignage que je livre aujourd’hui devant vous, est celui de mon très long séjour dans les antichambres de la foi, avant la véritable rencontre avec Jésus.
Je suis issue d’une famille catholique et pratiquante depuis des générations. Dieu et Jésus ont toujours été présents dans ma vie. Dans ces conditions, on comprend bien que ma relation initiale avec Dieu était le fruit d’une transmission, d’un héritage, d’une éducation. Cependant, bien qu’ayant toujours été convaincue de l’existence de Dieu et de son Amour pour moi, je me suis pendant une courte période éloignée de la pratique religieuse. Et lorsque, j’ai renoué mon intimité avec Dieu et son Fils Jésus, j’aimais véritablement proclamer que j’avais trouvé la foi, que la relation que je vivais avec Dieu était une relation réellement partagée et voulue. Et véritablement je désirais Dieu de toute la force de mon âme, j’étais vraiment dans une relation de dépendance à DIEU. Je ne désirais qu’une chose c’était vivre pour lui, avec lui, en lui. J’étais d’ailleurs très active dans ma paroisse, donnant de mon temps, (catéchisme, groupes de prières notamment la prière des mères) de mon énergie … Mais je sentais qu’il y avait une faille, peut- être même dans ma vie de croyante et des évènements sont venus conforter ce ressenti. En effet, si Dieu a toujours été présent dans ma vie, et bien que fervente croyante, amoureuse de Dieu je n’avais pas accès à la connaissance de sa parole, la Bible. Ma foi était stérile, je n’étais pas disciple. J’étais incapable d’apporter des réponses fiables aux interrogations de mes proches. Et ça c’était une véritable souffrance. Néanmoins Dieu a permis que je puisse me nourrir spirituellement par des prédications sur un site chrétien. Ces messages de l’Evangile m’ont permis de prendre conscience que pendant toutes ces années, j’avais été paralysée par le poids des rituels, de l’éducation religieuse et que la main que Jésus me tendait au lieu de la saisir, je ne faisais que l’effleurer. Je crois que je peux identifier mon parcours à celui du peuple de Dieu, une progression lente mais sûre vers la lumière qui est la Parole et la Vérité. Je poursuis cette progression en m’engageant par les eaux du baptême.
Gloire à Dieu !
Une jeune Chinoise raconte :
“J’avais un jour entendu un prédicateur faire la comparaison suivante : “Si nous laissons un morceau de bois dans un endroit sombre, toutes sortes d’insectes vont se cacher dessous. Mais si nous l’exposons à la lumière, ils s’enfuiront, car ils ont horreur de la lumière. Il en est de même de notre cœur : Si Jésus, la lumière du monde, n’y habite pas, il est dans l’obscurité et cache toutes sortes de mauvaises pensées. Mais dès l’instant où nous recevons le Christ, et avec lui la lumière qu’il apporte, nos mauvaises pensées s’en vont”.
Depuis mon enfance j’avais peur des insectes. Un jour où je jouais au croquet dans la cour, je vis dans l’herbe une pierre qui me rappela la comparaison du prédicateur. Je poussai mon maillet sous la pierre et la soulevai. Un gros lézard, un mille-pattes et de nombreux petits insectes se dispersèrent aussitôt. Une voix intérieure me dit : “Tu es comme cette pierre, lisse et blanche au dehors, mais remplie de péchés au-dedans”.
Je compris alors combien il était hypocrite de prétendre suivre nos traditions chinoises d’amour, de justice et de vertu, et j’eus la conviction que j’étais une pécheresse. Je laissai tomber mon maillet et courus dans ma chambre… Je m’agenouillai près de mon lit et priai : “Seigneur, pardonne mon péché et aide-moi à comprendre ta Parole”. Je me relevai rapidement, le cœur battant et le visage en feu. J’avais enfin trouvé la paix !”
TEMOIGNAGE DU GOTHIQUE à JÉSUS
C 'était il y a quelques années. J ' étais gothique et j'adorais le DIABLE. J 'étais athée donc je ne pensais pas que Satan était réel, donc c'était plus une rébellion contre la religion. Comme j'étais mal, SATAN EST TRES REEL et est en train de tromper et de manipuler tout le monde sur la planète.
En décembre dernier, j'ai enfin atteint Dieu et il a transformé toute ma vie. Il m'a conduit à son fils JESUS-CHRIST en septembre 2019 et je suis NÉE DE NOUVEAU.
Au cours de la dernière année, j'ai arrêté de vivre une vie de péché et j'ai été régénéré par le SAINT-ESPRIT.
Toutes mes addictions et comportements toxiques sont tombés de ma vie instantanément. J ' ai soudainement voulu être une bonne personne et je me suis tourné de toutes les choses mal.
- j''ai arrêté de regarder des films d'horreur,
- j'ai arrêté d'écouter du HEAVY METAL,
- j'ai arrêté de boire et de me droguer,
- j'ai arrêté de faire la fête,
- j'ai arrêté de laisser des gens toxiques dans ma vie,
- j'ai arrêté de jurer,
- j'ai arrêté de mentir,
- j'ai arrêté de tricher,
- j'ai arrêté de prendre le nom du Seigneur en vain,
- j'ai arrêté d'être une personne terrible
Et j'ai commencé à faire confiance à Dieu !!!
Je ne peux même pas exprimer à quel point JESUS a changé ma vie.
Loué soit le Seigneur JESUS et son pouvoir de TRANSFORME UN ENFANT DU DIABLE EN UN ENFANT DE DIEU.
Croyez en JESUS-CHRIST maintenant et soyez LIBRE.
Le Salut est un cadeau Gratuit du Seigneur !
Tournez-vous vers JESUS pour la Vie Eternelle !
Loué soit JESUS mon Seigneur, mon Sauveur, mon Roi.
Merci JESUS de m'avoir sauvé. Je t'aime pour toujours. Amen."
Transmis par René Barrois
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Guérison miraculeuse d'un oeil, médicalement confirmée (Témoignage de guérison de France lors d'une Convention Compassion à Paris en avril 2000)
"Je rends gloire à Dieu pour son Fils Jésus qui m'a touchée le samedi 29 avril 2000 à la convention Compassion à Paris. Je m'étais rendue à la réunion avec des problèmes de vue terribles. Tout était trouble devant moi car je venais d'être opérée d'un oeil, il y avait à peine 9 jours, et l'autre oeil avait subi la même opération voici plus de 4 mois.
Une intervention très douloureuse car j'avais un ptérygion sur chaque oeil, c'est-à-dire de la chair qui avait poussé sur la cornée et qu'il fallait impérativement enlever. La veille de cette réunion, je ne pouvais pas ouvrir l'oeil opéré pendant toute une partie de la journée. Ce jour-là, une parole de connaissance fut donnée par notre soeur Dorothée de la part du Seigneur pour son peuple. Cette bénédiction concernait particulièrement ceux qui souffraient des yeux et même ceux qui avaient été opérés.
Cette parole me concernait donc. J'ai dit : Merci Seigneur. Ce matin-là, j'avais crié au Seigneur, lui demandant son aide et au moment où cette parole a été donnée pour tous ceux qui avaient des problèmes de vue, j'ai fait agir ma foi en passant le doigt sur ma paupière et sous ma paupière, chose qu'il m'était impossible de faire auparavant, tellement je souffrais.
Mais Gloire à Dieu ! Toute douleur avait disparu, plus de trouble du tout dans cet oeil fraîchement opéré, plus aucune douleur, plus de fatigue oculaire non plus ! Alléluia ! J'ai donc passé cette journée sans difficulté et servi le Seigneur sans problème. En rentrant à la maison, mon mari a lui aussi constaté la guérison. Il n'en croyait pas ses yeux !
Une semaine après cet attouchement du Seigneur, j'ai revu mon ophtalmologue pour un contrôle postopératoire et il s'avère que la guérison de mon oeil est spectaculaire. Le docteur n'en revenait pas : il m'a déclaré que de toute sa vie d'ophtalmologue, il n'avait jamais vu cela. Il s'empressa alors d'appeler quatre de ses confrères pour constater la guérison.
Chacun d'entre eux m'a examinée avec ses appareils et tous ont déclaré à l'unanimité qu'ils n'avaient jamais vu une telle chose de leur vie ! Les cinq médecins étaient là, stupéfaits, et se disaient les uns aux autres : c'est incroyable ! Le docteur traitant m'a ensuite déclaré que mon oeil était parfait, totalement guéri et que je n'avais plus besoin de venir le consulter. Et je peux ajouter maintenant que je vois même mieux de cet oeil-là que de l'autre. Alléluia ! Gloire au Seigneur! - Josette Montabord (Paris)
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“J'avais pratiqué la religion de ma famille, en condamnant sévèrement la chrétienté. À 18 ans, je fus contacté par une chrétienne sur un stand biblique. Je ne savais rien de la Bible, sinon qu'elle était “falsifiée”, selon ce que j'avais appris. On m'avait enseigné que les chrétiens disaient que Jésus était le Fils de Dieu, et pour moi, c'était un blasphème. Jésus n'était qu'un homme, prophète certes, mais créé, au même titre qu'Adam.
Je décidai d'étudier et de comparer la Bible avec d'autres livres religieux.
À mesure que je la lisais, je me rendais compte qu'elle était autre chose que ce que je pensais ; et surtout, l'image que je me faisais de Jésus était fausse. D'étranger et imposteur, Jésus devenait pour moi un homme unique ! Qui a, comme lui, consolé les pauvres, accueilli les personnes rejetées, soulagé des opprimés ? Qui a, comme lui, parlé avec simplicité et vérité de Dieu qui aime tous les hommes ? Et surtout, qui a, comme lui, révélé le Dieu et Père de tous ceux qui placent leur confiance en lui ? Par la suite, j'ai assisté à des réunions chrétiennes. Cela m'a aidé à comprendre l'évangile du salut. L'amour de Dieu, manifesté à la croix, m'avait bouleversé, moi qui ne connaissais qu'un Dieu puissant, sans aucun pardon pour le pécheur. Mais Jésus Christ est maintenant mon Sauveur et mon Maître. La paix a inondé mon cœur ! Je connais Dieu comme mon Père céleste, et cela grâce à Jésus, crucifié et ressuscité pour moi.” - Jamel
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Le Chemin de Dieu, d’un cancer à une nouvelle vie
Je m'appelle Céline, j'ai 29 ans ; j'ai 5 formidables enfants et un bon mari grâce à Dieu. Mais tout n'a pas été toujours rose dans ma vie.
Quand on a le Seigneur Jésus-Christ dans sa vie, on se croit invincible, à l'abri de tout. On pense pouvoir tout diriger, mener sa vie comme un bon chrétien. On passe notre temps à louer Dieu et à le remercier. Lorsque tout va bien, ce n'est pas très compliqué. Mais même en tant que chrétien, peut-on tout accepter avec le sourire ? On le devrait pourtant.
En mars 2006, mon époux était parti en Côte d'Ivoire pour une durée de 4 mois pour son travail, j'ai donc profité de ce temps d'absence pour rendre visite à ma famille dans la région parisienne. J'ai décidé lors de ces vacances au mois d'avril de faire un bilan de santé complet (ophtalmologiste, dentiste). Lors de ma visite chez le gynécologue, j'ai dû effectuer un frottis de contrôle. Quelques semaines plus tard, j'apprends que le résultat est « anormal ». Des examens supplémentaires s'imposaient (biopsie, colposcopie). Résultat : cancer du col de l'utérus.
A l'annonce de cette nouvelle, je me suis effondrée. Pourquoi Seigneur ? J'ai une vie saine et je fais ta volonté. Une intervention chirurgicale s'imposait. Il a fallu annoncer la nouvelle à mon mari qui était à des milliers de kilomètres de moi. Il a été rapatrié le 18 juin 2006 pour être présent à mes côtés.
Les médecins m'avaient prescrit une pilule contraceptive afin que je n'aie pas de saignements lors de l'opération qui devait se dérouler le 26 juin 2006. Le gynécologue m'a ensuite expliqué qu'il serait difficile voir impossible pour moi de porter un enfant à son terme si je devais tomber enceinte. J'étais perdue et je me laissais porter par les évènements sans savoir pourquoi cela m'arrivait. C'est bizarre comme on cherche toujours des raisons à nos problèmes.
Après mon intervention, j'ai été sous traitement durant quelques semaines. Mais je me sentais toujours mal avec de violentes douleurs. Après avoir changée de traitement plusieurs fois, mon état ne s'était toujours pas amélioré. Un jour, lorsque mon mari travaillait et que les enfants étaient chez leurs grands-parents, j'ai été invitée par mon Pasteur et sa femme. Les douleurs étaient revenues alors que je partageais le repas avec eux. C'est alors que mon Pasteur Arnaud, m'emmena d'urgence à l'hôpital. Après des examens et une échographie, je vois à l'écran un petit être. J'étais enceinte depuis environ 16 semaines (début de grossesse le 20 juin 2006 ; j'étais donc enceinte lors de l'opération).
Mais comment est ce possible ? Je m'effondre. Comment vais-je le dire à mon mari ? En l'annonçant à mon Pasteur, il semble fou de joie ; il l'était certainement plus que moi. J'avais déjà 4 enfants dont le dernier avait à peine un an. Et puis, la maladie, j'avais aussi prévue de reprendre mes études. Bref, j'avais plein de projets, et tout était chamboulé. Et tout ça pour un enfant que je ne désirai pas et que je n'étais même pas sûre de pouvoir garder. Et qui me garantissait qu'il serait en bonne santé avec tous ces médicaments ? Mon mari lui, était beaucoup plus ravi. Il a juste dit : « Il va falloir que l'on change de voiture ».
Je m'en voulais de ces mauvais sentiments. Après tout, je priais pour que Dieu me guérisse et non pas pour avoir un bébé. Mais Dieu n'a-t-il pas le droit de m'offrir ce cadeau ? Ce formidable cadeau.
Plus le temps passait et plus je m'attachais à cet enfant qui était issu d'un miracle. La première fois que je l'ai senti bouger, j'ai oublié tous mes soucis. Je l'ai aimé tout simplement comme j'aime mes autres enfants. Le Seigneur a aussi permis que je continue mes études durant ma grossesse, soutenue par ma famille et mon église. Et le 12 mars 2007 est né Malcolm, qui signifie « faiseur de miracles ». Car c'est un vrai miracle de Dieu. Et comme un miracle ne vient pas sans un autre, aujourd'hui je suis guérie du cancer. Ce sont les anticorps du bébé que j'ai développé durant ma grossesse qui ont facilités ma guérison.
Grâce à Dieu j'ai appris l'acceptation (accepter ce qu'il nous donne sans condition) et le renoncement (renoncer à nos propres projets pour suivre la volonté de Dieu).
Aujourd'hui, je le loue et je le remercie pour tous ses bienfaits. L'homme cherche toujours des raisons à ce qui lui arrive, mais c'est manquer de foi que de ne pas accepter ce qui nous arrive. Dieu sait tout au-delà de nos espérances. Remercions le car il a posé son regard sur nous. Faisons lui confiance. - Céline
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Daniel Bodolec
témoignages
Je vis à Brest et je suis pasteur. Je voudrais, pendant ces quelques instants, partager mon témoignage avec vous. J’ai eu la chance d’avoir une maman qui croyait fortement en Dieu. Cela lui fut très utile parce que j’ai eu un papa difficile à vivre, étant malade des nerfs. De plus, il s’était mis à boire, ce qui fait que j’ai assisté à des scènes de violence. Ma mère et moi-même en avons beaucoup souffert, et j’ai dû en subir les conséquences.
C’est ainsi qu’à l’âge de l’adolescence, mon cœur était dans la révolte, dans la rébellion, et je voulais vivre autre chose que ce que me faisait subir mon père à la maison. Alors, j’ai fait partie de bandes de copains, de clubs, j’ai effectué toutes sortes de voyages. J’étais, en quelque sorte, en recherche. J’étais à la recherche d’un idéal, de quelque chose qui serait susceptible de me donner la paix, mais je ne l’ai jamais trouvé. Un jour, je me suis rendu dans un camp de jeunesse chrétien.
Là, un prédicateur a annoncé l’Evangile, et pour la première fois de ma vie, j’ai été touché par l’Evangile. A la suite de l’appel qu’il a adressé aux jeunes, je me suis levé, et pour la première fois, j’ai réalisé mon état de péché, ma situation de séparation d’avec Dieu. Je n’ai jamais ressenti cela auparavant. J’étais assez rebelle à l’égard de Dieu, étant donné tout ce que j’avais vécu dans ma famille. Mais là, j’ai découvert que Dieu m’aimait, me gardait, me protégeait, et qu’Il voulait me sauver au travers de son Fils Jésus-Christ. Alors, j’ai confessé mon péché. J’ai confessé ma nature rebelle. J’ai demandé pardon au Seigneur.
Et quand j’ai regagné ma place, je n’étais plus le même garçon. C’est comme si les écailles de mes yeux étaient tombées. Oui, j’avais fait l’expérience d’une rencontre personnelle avec Jésus-Christ. Je ne L’avais pas vu. Je ne L’avais pas touché, mais j’ai réalisé que son Saint-Esprit venait de me convaincre de péché, de justice et de jugement. Je venais de découvrir cet amour incommensurable de Dieu.
A partir de là, j’ai mené une vie tout à fait différente : la rébellion avait cédé la place à la paix et à la joie. J’ai rendu témoignage autour de moi. Ce fut quelque chose d’extraordinaire. Bien sûr, ce n’est pas parce que l’on devient chrétien que l’on a plus d’épreuves. Il y a eu bien des épreuves depuis, bien des chagrins, bien des difficultés, mais je peux vous dire que Jésus a toujours été à mes côtés et je n’ai jamais regretté de Lui avoir donné ma vie.
Je ne sais pas ce que je serais devenu aujourd’hui, peut-être un alcoolique, un homme violent ? Peut-être aurais-je fait toutes sortes d’expériences d’ordre spirite ou marquées par l’occultisme ? En tous les cas, gloire au Seigneur ! Je Lui appartiens et je vous invite à faire la même expérience que moi. Quel que soit le lieu où vous vous trouvez, demandez-Lui de vous sauver en cet instant. Vous pouvez l’être, votre vie peut changer, peut être bouleversée. La tristesse peut céder la place à la joie et à la paix. Oui, donnez votre vie au Seigneur Jésus, vous ne le regretterez pas.
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Témoignage de Christian Kadi
Je n’ai pas eu le privilège d’être élevé dans un foyer normal, puisque ma mère était une femme de mauvaise vie, et je n’ai pas connu mon père. Plus tard, ma mère s’est mariée à un homme alcoolique ; elle aussi l’était. Cet homme me détestait parce que je n’étais pas son fils : il manifestait de la haine envers moi en me frappant sauvagement.
Un jour, j’avais cinq ans, il m’attacha avec des lanières de cuir à une poutre et me frappa violemment avec une cravache. Une autre fois, il prit un balai, m’en asséna de coups sur la tête jusqu’à me faire perdre connaissance, le cuir chevelu coupé, et tout ensanglanté.
Un soir où je rentrais de l’école, il m’attendait avec un énorme couteau planté sur la table et une corde. Il me dit : « Ce soir je vais te couper la tête. »
Dans ce foyer lié par Satan, mes oreilles ont entendu ce que les oreilles d’un enfant ne devraient pas entendre, et mes yeux ont vu des choses impures, souillées, ce que les yeux d’un enfant ne devraient jamais voir.
Mon corps était constamment couvert de bleus, de contusions diverses, parce qu’il me frappait jusqu’à ce que le sang coule.
Ma nourriture, il fallait que je la trouve : je la cherchais dans les poubelles et les tas d’ordures. J’étais livré à moi-même. Les voisins se sont aperçus du manège et ont déposé une plainte auprès des services compétents de l’enfance.
Bien vite les services sociaux furent sur les lieux, ainsi que la police. En l’espace de quelques jours je fus retiré et placé à l’Assistance Publique. Je fus mis dans un orphelinat avec d’autres enfants qui étaient comme moi, ou sans parents. Dans cet établissement j’étais reconnu comme étant une forte tête car rien ne me faisait peur : je cassais les carreaux, frappais mes camarades, je volais, je me déchaînais et faisais des fugues.
Les services sociaux me placèrent alors chez une nourrice. Cette femme était gentille, elle me nourrissait bien, s’occupait bien de moi, mais ce qui me manquait c’était de connaître l’ambiance d’un foyer et particulièrement l’amour maternel que rien ne peut remplacer. Le maître d’école me disait souvent : « Tu finiras ta vie en prison... » car dans mon cœur il y avait de l’instabilité et de la haine.
À l’âge de 14 ans, je fus mis chez un patron pour travailler : je n’y restai que quelques jours. Je rencontrai dans la rue une bande de jeunes blousons noirs. Bien vite je me joignis à eux, là je me sentais bien. A cette époque je commençais à commettre quelques délits ; je fus arrêté par la police et placé dans une maison de redressement où je fus en contact avec des durs qui me montrèrent comment commettre des délits plus importants. Bien vite je mis leur enseignement en pratique, fis une fugue, et retrouvai mes anciens camarades. Avec eux, je descendais dans les bals, les fêtes foraines, les boîtes de nuit, cherchant la bagarre aux gens qui venaient pour se distraire.
Nous étions armés de chaines de vélos, ceinturons à clous, couteaux à cran d’arrêt, et cela se terminait mal.
À ce régime, je fus une nouvelle fois arrêté et conduit en prison. C’est toute ma jeunesse que je passai ainsi. Je fis plusieurs années de prisons et, à l’âge de 18 ans j’avais neuf condamnations sur le dos. Le juge me disait : « Vous ne vous en sortirez jamais. » Et plus on m’enfermait, plus j’avais envie de faire le mal, de massacrer les gens qui composaient la société.
Dans ces maisons d’arrêt, je me qualifiés de plus en plus, car ce sont bien souvent des écoles du crime.
Un jour, je pris la décision qu’il fallait que ma vie change, et je crois que chaque personne a dans sa vie ce désir. Je résolus de me marier (j’avais 18 ans et demi). Je rencontrai une jeune fille et un mois après nous étions mariés. Au début c’était tout nouveau, tout beau. Mais bien vite je fus encore arrêté et placé en prison pour plusieurs mois. La vie était vraiment un enfer pour moi et bien souvent je désirais mourir. J’avais de grosses dettes que je ne pouvais rembourser et je me voyais perdu. Alors je continuai à boire plus que d’ordinaire et je devins de plus en plus violent, faisant des scènes de ménage et tout ce que cela comporte. Mais ce que je ne savais pas, c’est que Dieu m’aimait : je ne m’étais jamais intéressé à Lui, mais Lui s’intéressait à moi. J’eus un accident. Je reçus sur la tête et sur la colonne vertébrale une botte de ferraille de 500 kilos. Je fus relevé avec des lésions multiples, des fractures de la colonne vertébrale et du crâne. A la suite de cela je fis des crises d’épilepsie très graves. Je tombais plusieurs fois par jour dans des comas de plusieurs heures, j’étais très près de la mort. Je consultais des professeurs de Paris : ils me donnaient un traitement (gardénal, valium, etc.) sans aucun résultat. Avec l’alcool que je buvais je devenais un malade mental par moment et je fus mis en hôpital psychiatrique. Mais lorsque je sortais, j’étais toujours dans le même état. Un jour, je fis une crise dans la rue. Quand je revins à moi, il y avait un homme que se mit à me parler de guérison miraculeuse par la foi en Jésus-Christ. Mes pensées étaient autres et mes idées étaient « Ni Dieu, ni maître. » Cet homme avait de la persévérance : il revint, me donna une Bible, et m’invita à des réunions où l’on prêche l’Evangile. Pour qu’il me laisse tranquille, je lui promis d’y aller, mais je n’en avais pas du tout envie.
Quatre mois plus tard, je vis revenir cet homme à mon domicile. Ce qui est remarquable c’est qu’il ne savait ni mon nom, ni mon adresse : il a prié et Dieu l’a conduit chez moi. Il a insisté pour que j’aille aux réunions, et il m’a dit : « Maintenant, tu es libre de faire ce que tu veux. » Après beaucoup d’hésitations, je me décidai d’aller à une réunion évangélique où j’arrivai à la fin. Le pasteur pria pour moi en m’imposant les mains selon l’ordre de Jésus (Marc 16 :18) et il ne se passa rien. Je revins la fois suivante, et dans la prédication, le serviteur de Dieu, sans connaître rien de ma vie, me la dévoila. Ce qui me frappait dans cet homme, c’était que quand je lui parlais avec un vocabulaire ordurier, il me répondait avec amour. Dieu commença à travailler mon cœur. Je compris que j’étais un pécheur misérable et je fis cette prière : « Seigneur, cet homme a dit que tu étais vivant, révèle toi à moi. »
Et Il le fit. Il se passa quelque chose d’inexplicable. Je fus rempli de joie, de paix, et je me mis à pleurer, chose que je n’avais pas l’habitude de faire.
A partir de ce moment, tout changea. Ma vie fut transformée, mon cœur malade fut guéri, mon foyer connut le bonheur et l’équilibre. La violence, la haine sortirent de mon cœur et je recommençai une vie nouvelle. Ce message d’amour de l’Évangile a bouleversé ma vie. Chaque jour le Christ vivant me donne la joie de Son Salut et de cette espérance d’être un jour avec Lui pour l’Eternité. Il est vraiment un Sauveur Parfait et Merveilleux.
Et maintenant, ayant été retiré de la misère et de la boue, j’apporte aux hommes cette Bonne Nouvelle d’un Dieu Vivant et Agissant, parce que je sais quelle est la Seule Solution à leurs problèmes - Source : C.V.A. -Nice
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"Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature" (2 Corinthiens 5/17)
Je rends grâce à Dieu pour son amour envers moi car il m’a cherché et il m’a trouvé.
C'est le 12 février1984 à l'âge de vingt-deux ans que j’ai entendu le message de l'Evangile pour la première fois C'était dans l'église d’Aix-en-Provence. Mon cœur a été bouleversé par la prédication de l'Evangile de Dieu. Depuis ce jour où j’ai
accepte Jésus comme mon Sauveur tout a changé.
Avant ma conversion, et depuis l'âge de 14 ans beaucoup de questions travaillaient mon esprit et ne trouvaient pas de réponses. Ces questions concernaient notamment la mort et l'au-delà. Ces recherches m’ont conduit à lire de nombreux ouvrages de toutes sortes (para-psychologie, sectes orientales, etc.). Ces Livres n'ont pu soulager mes angoisses. Au contraire, ces réflexions m’ont conduit sur un autre chemin, celui de la drogue et du hard-rock. L'illusion et la joie artificielle étaient mon partage et au fond de mon cœur, j'étais malheureux.
Heureusement, "du fond de la détresse, j'ai invoqué l'Éternel et il m'a répondu". Ce qu’aucun ouvrage n'a pu m'apporter, l'Évangile me l'a donné, j’ai trouvé dans l'Évangile la paix profonde, l'espérance de la Vie éternelle. Jésus-Christ m'a libéré de mes vices ainsi que de mes passions. Je peux dire que je connais maintenant le bonheur. le 17 juin 1984 je passais par les eaux du baptême et six mois plus tard j'étais baptisé dans le Saint Esprit.
' A partir de ce moment, un désir intense de partager mon expérience est né dans mon cœur et ne m’a plus jamais quitté.
Je me suis mis à la disposition de mon pasteur pour toutes les taches matérielles de l’assemblée. J’ai reçu l'appel pour servie Dieu à plein temps en janvier 1985 quand Dieu ma parlé au travers de l’écriture et, quelques Jours plus tard, par une prophétie dans l’Église locale. En juillet 88 enfin, j’en ai informé mon pasteur. Pendant ces trois ans et demi, Dieu a travaillé mon cœur en profondeur.
me suis marié en Mai 1990 et nous sommes rentrés dans le service à plein temps. Pour notre premier stage, en juin de la même année. Nous avons servi le Seigneur à Angoulême, puis à Gap et nous sommes actuellement dans l’Assemblée d’Aubagne. Notre vœux le plus cher est qu’un grand nombre de personnes connaissent Jésus comme Sauveur personnel.
A lui soit toute la gloire. Albert-Basile